Nous sommes domestiqués, nous nous domestiquons, nous domestiquons notre façon de manger, de chasser, de combattre, de nous insurger, de crier, de rouer de coup, nous filtrons tout ce qui nous arrive avec des mots et des positions sociales, des métiers et des compétences, de bonnes raisons de parler, de courir, de nous déployer sur des pistes peintes en blanc, nous débordons dans des espaces prévus pour le faire, la drogue est à profusion, la bouffe, le vin sont à profusion, tout est possible nous n’avons qu’à choisir quoi consommer pour rapter le monde. Nous méritons lorsque nous avons rangé nos bords, que nous sommes arrivés à la place qui nous permet de nous présenter et de rire fort. Nous avons tous les médicaments qu’il faut pour nos folies et des chats et des chiens pour nous rappeler de la nature. N’aboyons pas. Mettons le feu dans des objets qui optimisent la chaleur et protègent nos enfants, restons assis sages et sachant.
foutus de chiens intelligents
foutus de chihuahua spécialistes des déviances cognitives,
foutus de canaris jaunes et chantants
foutus de nous dedans eux qui désirons chasseresses et bandantes, ruant cornes tendues.