P.Line Weidmann est artiste et autrice de performances, elle crée des œuvres aux ressorts du geste et du discours, ses pièces se déploient entre voix parlée, gestée et racontée autour des questions de territoire et de langage. Après des études de géographie sociale, elle organise trois années de laboratoire entre interventions de ses pairs et étude des micropolitiques de groupe, elle rencontre des praticien.ne.s situé.e.s comme Johann Swaltswager, Eric Blouet et Jean Bojko, Carole Perdereau et Loïc Touzé sa pratique s’hybride, elle déplie les vocalités et les répertoires au fur et à mesure de ses actes. Elle continue ses recherches vocales en y conviant notamment Haïm Isaac, Claire Bergerault, Marie-Pascale Dubé, Pascale Ben, Myriam Pruvot, Loïc Varanguien de Villepin, Lior Shoov Jean Baptiste Veyret Logerias et le Conservatoire de chant lyrique de Nantes. Aujourd’hui elle performe l’adresse, improvise, sa voix physique remue des sens et des pulsions. Elle travaille depuis de longues années à l’organisation d’immersions collectives dans des espaces de création où des sociabilités sont actives pour faire percoler des lieux, des formes de représentations.
Son travail a été présenté au CDCN Chorège à Falaise, à la Place de la Danse à Toulouse, dans le cadre du festival Waterproof à Rennes et du festival Trajectoires à Nantes. Son travail est diffusé dans la scène expérimentale et les lieux de performance en France, en Belgique et en Suisse.
Ses poésies sont éditées dans trois recueils (SOMME- MAISONS - PEAU) et dans la revue collective PLI. Un recueil est au travail aux édition Maison Trouble à Nantes.

Répertoire des pièces : 
2023/24 - VÂCARM - VOIX et bandes. ︎
2023/24 - ANTRES - Chorégraphie pour cinq voix ︎
2021 - ÉPOQUES - Voix et mouvements en défrichage de traditions. ︎
2017/19 - TARZ - Broderie - Chant - Repas - Routes avec Louise Hochet ︎
2018/19 – LA PEUPLÉE– Solo – voix/corps pour un paysage agricole ︎
2014 – DEUX - Théâtre Gestuel et musical – Benoit Briand – Léo Merlin – Rachel La Prairie ︎
2014 – GRANDES BOUCHES – Avec Corinne Cognée et Laetitia Brun - chant tout terrain ︎
2023/24 - VÂCARM - VOIX et bandes. ︎
2023/24 - ANTRES - Chorégraphie pour cinq voix ︎
2021 - ÉPOQUES - Voix et mouvements en défrichage de traditions. ︎
2017/19 - TARZ - Broderie - Chant - Repas - Routes avec Louise Hochet ︎
2018/19 – LA PEUPLÉE– Solo – voix/corps pour un paysage agricole ︎
2014 – DEUX - Théâtre Gestuel et musical – Benoit Briand – Léo Merlin – Rachel La Prairie ︎
2014 – GRANDES BOUCHES – Avec Corinne Cognée et Laetitia Brun - chant tout terrain ︎
Collaborations : 
2022/23 - collaboratrice au plateau pour TROIS COLLIERS de Mathilde Papin.
2022/23 - collaboratrice au plateaupour So Slow de la Cie des Limbes. Romain Jarry et Loïc Varanguien de Villepin.
2021 - Création sonore pour SPIRALES de Julie Nioche
2021 - Composition pour un chemin avec Céline Domengie dans le cadre des Géorgiques.
2022/23 - collaboratrice au plateau pour TROIS COLLIERS de Mathilde Papin.
2022/23 - collaboratrice au plateaupour So Slow de la Cie des Limbes. Romain Jarry et Loïc Varanguien de Villepin.
2021 - Création sonore pour SPIRALES de Julie Nioche
2021 - Composition pour un chemin avec Céline Domengie dans le cadre des Géorgiques.
Mise en scène d’espace social : 
2022 - Monstres Fêtes ︎
Recherche et expérimentations à propos de fête (35)
2020 - Les Rondes ︎
évènements pour réhabiter les pays (44)
2020 - Les Marches ︎ Itinérance à pied - abolittion collective - lacher de leste et micropolitique (43)
2017 – Je Sommes - Maison d'Arrêt de Fleury -Merogis ︎
Ecriture et photographie (91)
2016 – Je Sommes- Maison d'Arrêt de Fleury -Merogis ︎
Écriture de textes et mise en scène (91)
2017 - Chuchote Création pour l’espace public avec Benoit Briand Festival de Paluden (29) – Châlons Dans la Rue (71)
2016 – Le Fond du Fleuve ︎Installation de modelages et création sonore pour 20 portraits d'habitants – rencontre Poétique en Espace public de l'Enracinée – Sainte Sévère sur Indre (36)
2016 – Causons l’amour ︎
théâtre itinérant, collecte de lettres d'amour et débats publics – (29)
2015 - 2016 - 2017 - Rencontres Poétiques ︎ Immersion collective - écriture In Situe et mise en espace public - Banquet - Parcours spectacle
2015 - Les Egarnement ︎ Formation aux arts du lieu : itinérante pour douze stagiaires - intervenants - Jean Bojko - Eric Blouet - Youna Marsauche - Benedicte Zanon - Frederic Billy - Joëlle Colombani
2014 – La Dérive ︎ 80 artistes et 15 embarcations - descente de Loire en 5 escales spectacles (37/49/44).
2022 - Monstres Fêtes ︎
Recherche et expérimentations à propos de fête (35)
2020 - Les Rondes ︎
évènements pour réhabiter les pays (44)
2020 - Les Marches ︎ Itinérance à pied - abolittion collective - lacher de leste et micropolitique (43)
2017 – Je Sommes - Maison d'Arrêt de Fleury -Merogis ︎
Ecriture et photographie (91)
2016 – Je Sommes- Maison d'Arrêt de Fleury -Merogis ︎
Écriture de textes et mise en scène (91)
2017 - Chuchote Création pour l’espace public avec Benoit Briand Festival de Paluden (29) – Châlons Dans la Rue (71)
2016 – Le Fond du Fleuve ︎Installation de modelages et création sonore pour 20 portraits d'habitants – rencontre Poétique en Espace public de l'Enracinée – Sainte Sévère sur Indre (36)
2016 – Causons l’amour ︎
théâtre itinérant, collecte de lettres d'amour et débats publics – (29)
2015 - 2016 - 2017 - Rencontres Poétiques ︎ Immersion collective - écriture In Situe et mise en espace public - Banquet - Parcours spectacle
2015 - Les Egarnement ︎ Formation aux arts du lieu : itinérante pour douze stagiaires - intervenants - Jean Bojko - Eric Blouet - Youna Marsauche - Benedicte Zanon - Frederic Billy - Joëlle Colombani
2014 – La Dérive ︎ 80 artistes et 15 embarcations - descente de Loire en 5 escales spectacles (37/49/44).
P.Line Weidmann
0671121615
0671121615
 
 
Musique danse et poésie – Sans trop d’argumentaire. Il y a toujours la langue des gens, les identités dedans, la parole des taiseux et sans preuve ni arguments, une imposition de sonnailles, des sonneurs d’actualités ou des analogies – c’est l’analogie des classes sociales, les bras de leurs paroles ou bien la musique des mots simples. Des répétitions de mots, une danse brute ou moche pouvant donner lieu à des râles puissants et des questions indicibles. Qu’en est il de nos besoins de hurlements ou bien l’histoire de Jack et ses oiseaux comme l’extraction de nos vaines vues. Nous sommes donc d’autres petits dieux sans superbes, des preneurs de temps et de paroles avec la violence de ces actes en scrupules, rien ne change que l’annulation des velléités populistes de l’art qui dirait que nous ne sommes pas d’ici ou bien si nous sommes de là, qu’il y a un sens à la présence de certaines et non pas à celle de certains autres. Que la racine vaut mieux que le geste. Porte-greffe, sorte de support importé et toujours renommé de plus en plus en numéros et en tirets.
Quand les membres rangent, le désir sous les cernes, que la mort arrive à vitesse molle et que tout est flou. Violence qu’il s’agirait de survivre, de suivre, de gratifier, d’adouber du vivant, pour faire parler les choses, tient.